CALI – Voilà les anges
Albin Michel (3 novembre 2021)
« Je vous aime. Je vais vous enlever, amour, et vous emmener loin d’ici. Là où le cynisme et la tromperie ne dresseront jamais leurs armées cruelles. Là où l’on ne vit que pour l’amour, là où l’on ne meurt que par amour. »
C’est avec cette promesse que le narrateur séduit Sofia, dans ce roman qui se place d’emblée sous le signe de l’amour : amours enfuies, amours maudites, amours naissantes et renaissantes. Au gré des péripéties contées avec émotion et humour par un narrateur qui ressemble comme un double à Cali, on voyage entre Hydra et Montmartre, entre les quatre murs d’une cellule et un manège pour enfants, mais aussi entre enfer et rédemption, et toujours sous le soleil noir de la poésie la plus brûlante.
En filigrane, la quête de réponses à ces questions : quel enfant suis-je ? Quel père pourrais-je être ?
Roman de passion, Voilà les anges laisse ouverte l’espérance d’une vie meilleure, où les coeurs viennent à s’éprendre, comme pour la première et la dernière fois.
MARCREDI 25 NOVEMBRE 2020 19h30
Cali Officiel vous donne rendez-vous pour un Facebook live avec Bénabar et Augustin Charnet. Au programme lectures des poèmes de « Éparpillés », sa nouvelle déambulation poétique aux Éditions Invenit. Rendez-vous Facebook de Cali et des Éditions Invenit.
ÉPARPILLÉS, LE CHANT DES POSSIBLES
Sortie le 06 novembre 2020
Cali
Un homme de feu raconte les autres hommes. Ses proches, ses disparus, ses passant majuscules, ses modèles simples, ses héros. Il raconte aussi des brins de vies, minuscules et fugaces, éternels et vivifiants comme un souvenir. Des hommages et des souvenirs qui prennent vie et se mettent à rire. Des traces de vivant. « Clip de quelques secondes » , Polaroïd de mots, croquis qui se mettent à bouger. Tout l’art de Cali est ici : une enfant joue, un grand père boxe, un aîné apparait, un chanteur prend la parole. Cali écrit comme on filmerait en 16 mm, avec du tremblé, du grain et du coeur. Conversations capturées, bouts de nuits et de promesse, mots d’amour sur un fil et caresses à la dérobée. Conteur du minuscule à la manière d’un Richard Brautigan qu’il vénère, l’homme est tout entier poète : en équilibre, sincère, et toujours à fleur de peau, dans une irrévérence bienveillante, debout les bras ouverts. Ça respire la peine qui prend le temps de sourire, les éclats de rire les soir de pluie, la promesse de l’amitié et la beauté qui danse sur les pores de la peau.
Je dois encore vivre Extrait du nouvel album CAVALE (sorti le 13 mars 2020) Clip réalisé avec l’aide du public La consigne était d’envoyer les plus beaux moments de vie et souvenirs pour habiller ce titre et en faire un film plein de lumière…..
Le Chant des possibles
Cali en dédicace
LIRE A LIMOGES les 3,4,et 5 MAI
vendredi 29 mars à 16 h à Perpignan (hôtel du département, quai Sadi Carnot)
samedi 30 mars à 15h30 à Prades et à 18h30 à Vernet les bains
Concert Solidarité Ford 2 mars 2019
BORDEAUX
Cali, Balbino Medellin, Les Hurlements d’Leo, The Hyènes, Giorgia Sinicorni et un(des) invité(e)(s) surprise(s)…
http://https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=8gTsAlJQEzE
Le prochain roman de Cali arrive le 14 mars: « Cavale ça veut dire s’échapper »
Bruno, 15 ans,entre dans l’adolescence comme si demain était son dernier jour, en cavalant. Bruno prend tout, s’immerge dans la violence des émois qui déterminent cet âge-là, et nous nous prenons à cavaler avec lui. Cavale se déroule fiévreusement et s’ancre dans nos esprits comme le reflet de nos jeunesses passées, et c’est tout l’art de Cali que de savoir nous les faire revivre au travers d’un ton et d’une voix d’une justesse absolue. agencelitteraire-cgr
Francofolies de la Réunion · 3e édition du 8 au 10 mars 2019
Seuls les enfants savent aimer
http://https://www.youtube.com/watch?v=acmD6SFYh64
Festival : le chanteur Cali récompensé au «Woodstock des livres»
En ce dernier dimanche d’août, l’esprit de Gonzague Saint Bris — disparu l’an dernier —, fondateur du festival la Forêt des livres, vieux de 20 ans, flotte encore dans l’air la forêt de Chanceaux-près-Loches (Indre-et-Loire).
Sur le petit balcon de bois du Chalet des chasseurs, les hommages et les prix s’enchaînent, devant une grande assemblée émue. « La présence du public, c’est la preuve que cette manifestation magique peut survivre à son créateur », résume Christian Panvert, ami de longue date de Gonzague et chef d’orchestre, avec Marie-Claude Mahiette, de cette nouvelle édition rebaptisée les Ecrivains chez Gonzague Saint Bris.
Avec l’aide de 220 bénévoles, ils se sont battus pour que cette manifestation populaire et littéraire résiste. Défi relevé ! Cette année, 12 000 lecteurs ont répondu présent ainsi que des fidèles de la première heure comme Richard Bohringer, Willy Rovelli, Patrick Poivre d’Arvor ou Natacha Polony pour qui ce salon littéraire représente le « Woodstock des livres ».
130 écrivains à la bonne franquette
Entre le lac et le château, 130 écrivains dédicacent leur livre dans une atmosphère féerique. Le public y vient en famille, à la bonne franquette, comme Annick qui revient depuis huit ans, avec son père, sa belle-mère et sa fille. Ensemble, ils écument les stands pour décrocher le plus de selfies : « On pourrait y dédier un pan de mur chez nous » s’exclame la cinquantenaire. « La magie d’ici, c’est que les célébrités sont très accessibles et prennent le temps de nous répondre », ajoute Sylvie, sa belle-mère.
Sous une tente à proximité, c’est la cohue. Le chanteur Cali, qui vient de recevoir le prix du livre 2018 du festival pour « Seuls les enfants savent aimer », enchaîne les signatures devant les fans émerveillés. Même affluence pour sa voisine, Claire Chazal, venue pour son livre « Puisque tout passe » : « C’est une manifestation culturelle dont on a beaucoup parlé sur TF 1, mais faute de livre je n’avais pas encore eu la chance d’y aller », confie l’ancienne présentatrice du JT.
Claire Chazal à Chanceaux-près-Loches (Indre-et-Loire) ce 26 août AFP/GUILLAUME SOUVANTUn peu plus loin, une discussion sur la toxicité des réseaux sociaux s’improvise entre des fans et Francis Lalanne, assis sur sa table de dédicace. Ce salon du livre très particulier met aussi en valeur des nouveaux talents comme Thi Thu, 28 ans, qui a reçu le prix du premier roman pour « Presque une nuit d’été », et qui avoue timidement : « C’est une première pour moi, je n’avais jamais fait de dédicace. »
Cali Chante Léo Ferré c’est Extra (Extrait)
CONCERT GRATUIT CALI Argelès 15 AOÛT 2018
On a fêté la musique… en Chine
Nous étions avec Cali pour la Fête de la Musique française, que la Chine célèbre en bleu blanc rouge. Un phénomène incroyable.
« Bienvenue à la Fête de la musique ». Dit en français, on s’y croirait. La scène est installée devant un immense centre commercial, avec Hermès inscrit sur son fronton doré, l’avenue est bordée d’affiches Dior. Lancôme a installé sur la place une immense tour Eiffel, au-dessus de sa boutique. Mais nous ne sommes ni à Paris ni le 21 juin. Nous sommes le 22 à Wuhan, au cœur de la Chine.
C’est dans cette ville de 12 millions d’habitants à 800 km à l’ouest de Shanghai que la Fête de la Musique s’est implantée pour la première fois il y a douze ans en Chine. « Parce que c’était plus facile d’avoir les autorisations pour y organiser des concerts en plein air », se souvient Didier Kimmoun, attaché culturel du consulat général de France à Wuhan. Aujourd’hui, douze villes participent à l’opération coordonnée par l’ambassade de France mais Wuhan reste la principale, par le nombre de ses concerts et leur ampleur.
Cette année, on y célèbre la musique pendant neuf jours, du 15 au 24 juin, avec cinq artistes français et trois chinois. Les deux temps forts ont lieu ce week-end. Samedi soir avec Pony Pony Run Run en tête d’affiche et trois groupes chinois, concert retransmis en direct sur la télévision régionale, avec un million de téléspectateurs minimum. Et ce vendredi 22 juin avec le groupe rock local Chinese Football, le groupe poitevin Colours In The Street et Cali, qui donne deux concerts à Wuhan puis deux à Hong-Kong avec le pianiste Michael Lecoq.
« Les Chinois se moquent qu’on soit inconnus »
Le Catalan a déjà joué la veille à l’école française pour les expatriés, seulement 650 Français qui travaillent dans cette ville très industrielle pour PSA, Renault, Carrefour, Sanofi, Valéo… « Il y a un microclimat très francophile et artistique ici », se réjouit Didier Kimmoun. Windy, qui présente sur scène la Fête de la musique, en est un excellent exemple. Cette jeune Wuhanaise anime une fois par semaine sur la plus grande radio régionale l’émission « Bonjour Paris » et réalise les meilleures audiences de sa radio avec Brassens, Gainsbourg, Joyce Jonathan, Vanessa Paradis…
Les Chinois n’ont pas l’habitude des concerts gratuits.LP/Éric Bureau
Ce vendredi, les spectateurs ont des petits drapeaux tricolores siglés le Coq Sportif, car le concert est sponsorisé par la marque. Son patron chinois, Ke Wang, est lui aussi francophile. « Et ce type d’événement est très bon pour les affaires », convient-il. Les Colours in The Street, qui ouvrent la soirée, en sont déjà à leur troisième passage en Asie.
« En remportant en France le tremplin Ricard Live, on a été invité à jouer dans un festival à Séoul en 2016. On a signé avec un label coréen, on est revenu l’an dernier en Corée et en Chine. Et pour la fête de la musique, on a six dates dans six villes en dix jours. Notre pop en anglais nous permet de nous exporter. Les Chinois se moquent qu’on soit inconnus, ils participent à fond. »
Une rencontre entre Chinois et artistes
Les Chinois y trouvent aussi leur compte. Les musiciens d’abord. « C’est grâce à votre fête de la musique que l’on a fait notre premier grand concert et que l’on a progressé, s’enthousiasme Bo, le chanteur de Chinese Football. Chez nous, les autorités n’aident pas les artistes comme chez vous. » Le public, lui aussi, est ravi. « C’est génial d’assister à un concert gratuit, s’exclament Cuiyun et sa fille, les courses dans une main, le drapeau français dans l’autre. On en profite. En Chine, les concerts sont tous payants et souvent chers. »
Le Français Cali a même pris un bain de foule./LP/Éric Bureau
Pour Cali, cette escapade asiatique « est une bouffée d’air frais ». « On ne vient pas ici conquérir un nouveau marché – les Chinois écoutent la musique sur leur propre plate-forme de streaming, mais se nourrir et partager. » Pendant une heure, cette bête de scène fait tourner les têtes. Il prend un bain de foule, est porté à bout de bras, fait saluer la mémoire de Jacques Higelin à un millier de spectateurs qui découvre son nom, fait danser deux jeunes femmes sur scène et chanter en français « C’est quand le bonheur » à cinq enfants. Wuhan et Cali ne sont pas près d’oublier leur première rencontre. Et le chanteur leur promet : « Je reviendrai. »
A lire
Cali dans Le HuffPost à 5 jours de la Conférence de reconstitution des ressources du Partenariat mondial pour l’éducation .
« L’éducation dans le monde doit être la priorité de tous, parce qu’elle est la meilleure arme dont nous disposons pour lutter contre l’extrême pauvreté. » BC
Seuls les enfants savent aimer