1000 coeurs debout

1000 coeurs debout est une chanson de l’album « L’espoir »  sorti le 4 février 2008 et produit par Mathias Malzieu et Scott Colburn.  1000 coeurs debout est aussi un DVD musical de Cali sorti en 2008. Le concert, réalisé par Didier Poiraud, a été enregistré le 14 mai 2008 à Nantes. Le clip réalisé par Martin Fougerolles a été tourné au Campo Santo à Perpignan. Situé au sud de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste , le Campo Santo (ou cloître Saint-Jean) est un cimetière de plan carré, datant du début du 14ème siècle. C’est l’un des plus anciens cimetières de France. 1000 fans ont vécu un moment exceptionnel en participant au tournageCette chanson est souvent chantée pendant les manifestations. Elle est devenue  inéluctable à chaque concert de Cali….

Cali reprendra, avec 1.800 collégiens limousins, une partie de son répertoire sur la scène du Zénith de Limoges, les 14 et 15 juin prochains (1800 coeurs debout)

 

Est-ce que tu vois, toi aussi, quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing,
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l’odeur délicieuse de la liberté
Quand tu craches des soleils, la tête haute, dans le vent, quand tu chantes à tue-tête
A l’amour qui revient, couronné de lauriers

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s’ils essaient encore ils se frotteront à mille coeurs debout

Le combat a fait rage, le combat était dur, il a fait des ravages
C’est écrit sur les rides de nos pères ivres de fierté, ils n’ont rien lâché, jamais
Il y a là la victoire qui nous tend des bras d’or
Et puis ces rues qui chantent et ces drapeaux dehors
Je te prendrai la taille et puis nous goûterons à ces instants de vie

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s’ils essaient encore ils se frotteront à mille coeurs debout

Est-ce que tu entends l’écho noir du naufrage,
Quand la nuit gémissait, on rampait sous la peur
Et la douleur des autres nous tenait éveillés
Est-ce que tu te souviens de l’enfant africain qui vivait en dessous
De ses parents raflés
Des fusils de la honte qui encerclaient nos écoles, je n’oublierai jamais

Nous sommes des milliers, un fleuve extraordinaire
Notre force est sublime, elle emportera tout
Et s’ils essaient encore ils se frotteront à mille coeurs debout

Est-ce que tu vois, toi aussi
Quand tu fermes les yeux, quand tu serres le poing
Haut vers le ciel, est-ce que tu sens l’odeur délicieuse de la liberté